La poursuite sans fin de la
croissance économique nous rend malheureux et risque de détruire la capacité de
la Terre à nous soutenir. Les bonnes nouvelles sont des mesures prises pour
rendre nos vies plus durables aussi nous rendre plus heureux et en meilleure santé.
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Définition de la croissance
C’est une augmentation de la
capacité de production d'un pays, tel que mesuré en comparant le produit interne
brut (PIB) en un an avec le PIB de l'année précédente. L’augmentation du
capital-actions, les progrès de la technologie, et l'amélioration de la qualité
et le niveau d'alphabétisation sont considérés comme les principales causes de
la croissance économique. Au cours des dernières années, l'idée de
développement durable a fait appel à d'autres facteurs tels que les procédés
respectueux de l'environnement qui doivent être prises en compte dans la
croissance d'une économie. Il ne faut pas commettre l’erreur de confondre entre
la croissance et le développement.
Quels sont les avantages et les inconvénients de la croissance économique ?
Parmi les principaux avantages de
la croissance économique sont l'amélioration du niveau de vie, l'augmentation
de l'emploi et de l'investissement dans les technologies propres, alors que
certains des inconvénients majeurs sont le risque d’inflation, la pollution et
la déforestation, la congestion de la circulation et les déchets ménagers excessive.
Il existe concerne également sur la durabilité de la croissance économique,
en particulier compte tenu de la nature finie des ressources de la Terre, y
compris les forêts et les stocks de poissons
D'autres problèmes
environnementaux qui ont été observés à la suite de la croissance économique
comprennent la surpopulation dans les villes et l'extinction de nombreuses espèces,
qui se traduit par une réduction de la biodiversité.
Néanmoins, il a été suggéré que
la croissance économique peut avoir un certain nombre de problèmes associés,
l'absence de croissance économique est beaucoup plus toxique pour une société
que sa présence. Certes la croissance axée sur la technologie a entraîné une
augmentation des profits et, par conséquent, souvent des salaires ainsi, sans
oublier l’amélioration de la santé générale, et l’augmentation de l’espérance
de vie. Cependant, ces avantages ne sont pas nécessairement ressentis par tous
les membres de la société tout aussi.
Le
coefficient de Gini, qui mesure le revenu et la richesse des inégalités par
nation, a constaté que de nombreux pays qui connaissent des périodes de
croissance rapide, y compris les États-Unis, ont des déséquilibres extrêmes de
revenus entre les citoyens les plus pauvres et les plus riches. Pourtant, d'autres
pays développés, comme le Japon et le Danemark, ont été trouvés à avoir
beaucoup plus l'égalité des revenus.
La croissance Zéro :
« Nous consommons trois planètes ». Jacques Chirac
Le rapport
Meadows proposait la stabilité du PIB pour préserver l'environnement, mais
depuis il passe presque pour un texte modéré. Certains prônent désormais la
"décroissance". Le courant de la "deep ecology", par
exemple, va très loin dans le rejet du progrès économique tel qu'il est perçu
par un courant des économistes. La croissance est accusée de générer un
bien-être illusoire
1. Elle dérègle la nature et le climat (coûts non comptabilisés),
2. Elle génère inégalités et injustices,
3. Elle crée une société peu conviviale, manipulatrice via la
publicité et incapable par définition d'atteindre son objectif (le système
repose sur une insatisfaction organisée).
Les sociétés traditionnelles et
antiques seraient plus heureuses. Le Laos des années 1960, par exemple, selon
Serge Latouche (un des principaux partisans de la croissance zéro en France)
est un beau pays qui ne demandait rien à personne, où l'on voulait simplement
écouter le riz pousser à l'ombre des pagodes.
A lire : Les problèmes face à l'économie mondiale en 2016
La mobilité est une condition
essentielle pour des gains à atteindre la productivité, la croissance et de
l'emploi dans un contexte macro-économique. La connexion entre la croissance
économique et la demande de services produits-transport est le résultat de
divers effets.
D’après un courant des partisans
de la croissance zéro notamment, il y a quatre règles à suivre pour atteindre
le ‘vrai bienêtre’ :
1. Produire localement : au lieu de la division internationale du travail, il faut la remplacer par une forme d’autarcie.
2. Reformuler le travail : à chaque fois on entend des bruns out des suicides au travail et chez les grandes firmes, on peut grâce au local travailler juste 2 heures par jour.
3. Développer les communautés : avec une vie associative, militante, et de proximité.
4. Oublier le PIB : cet indicateur productiviste est mensonger…
Le courant de zéro croissance se
renforce jour à jour, et suscite l’attention des économistes des écologistes
des philosophes et même des politiciens. Parce qu’il y a une prise de
conscience de ces derniers des risques et dangers que notre planète est en
train de les supportés. La dégradation des écosystèmes la pénurie des matières premières,
les dégâts humains et les guerres sont pour ces courant la cause de contestation
de ces modèle productiviste.
Les enjeux aujourd'hui en
discussion portent plutôt sur la répartition des richesses créées et sur le
développement durable (un oxymore selon les partisans de la croissance zéro).
Consacré par le Sommet
de la Terre de Rio en 1992, le développement durable est aujourd'hui
inscrit (qu'on s'en félicite ou qu'on le déplore) dans les orientations
politiques nationales et internationales, mais (pour la plus grande
satisfaction d'une large majorité des économistes) ni le principe de croissance
zéro ni a fortiori l'idée de décroissance.
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