La relation étroite entre la croissance économique et de la logistique



La mobilité est une condition essentielle pour des gains à atteindre la productivité, la croissance et de l'emploi dans un contexte macro-économique. La connexion entre la croissance économique et la demande de services produits-transport est le résultat de divers effets. Ces effets peuvent montrer clairement l'importance croissante du secteur économique de la distribution des marchandises :



L'effet du volume de marchandises

Pendant longtemps, on a supposé que dans les économies hautement développées et moins de quantités de marchandises ont été produites pour le système et la macro logistique que le volume de transport a augmenté à un rythme plus lent que l'économie.

De nos jours, on peut considérer que le développement se fait dans le sens opposé de direction à la suite de l'augmentation de la division inter-entreprises du travail créé par l'intensification externalisation dans certains pays très développés. Transport intensité - qui est, les performances du transport par unité de quantité de production - augmente pour de nombreux types de produits. Pièces ou composants d'un produit individuel sont transportés à plusieurs reprises au cours des différentes étapes de la chaîne de valeur, par exemple, transports entre les plantes.

L'effet de la structure des produits

Dans les économies hautement développées, le nombre de consommateurs de haute qualité et biens de production augmente. La part des produits de masse, d'autre part, stagne ou même tombe. La distribution des produits se déplace alors de haute qualité les produits qui doivent être livrés rapidement. En raison des coûts relativement faibles, les transports routiers bénéficient généralement. Les chemins de fer et les eaux intérieures transporte souffrent généralement en raison de leur faible vitesse.

L'effet de la logistique

Les systèmes logistiques subissent constamment l'optimisation. Gestion de la chaîne logistique, Les livraisons de production-synchronisation qui emploient juste-à-temps concepts, l’abondance de stockage et de l'externalisation mondiale ne sont que quelques exemples. Mais l'application des concepts de la logistique moderne affecte le secteur économique la distribution des marchandises.

En effet, la nouvelle orientation de la logistique des entreprises industrielles et commerciales a modifié les exigences imposées sur le système des biens-distribution. Le transport routier peut réagir relativement souple et bien à ces exigences. Les chemins de fer et le transport maritime ont un moment difficile faire ce commutateur. Dans le même temps, le fret aérien transporte profit de livraisons à temps critique.

L'effet de l'intégration

La création de grandes régions économiques donne lieu à, transfrontalière internationale systèmes logistiques. Par exemple, les règlements de l'Union européenne et de l’organisation mondiale du commerce ont propulsé la mondialisation dans le secteur de distribution. Comme les régions économiques se propagent, le commerce transfrontalier se développe et les distances qui doivent être couverts par des systèmes logistiques allongent.
L'effet de l'intégration décrit les exigences croissantes imposées au secteur économique de la distribution des marchandises qui sont résultant de la création de régions économiques plus vastes et systèmes logistiques transfrontaliers.

Part des coûts logistiques du produit intérieur brut

Les enjeux économiques de la logistique


La montée en régime de la fonction logistique, considérée désormais comme primordiale à côté de la production, des ventes, etc., est liée à la transformation profonde du modèle de production dans un ensemble de plus en plus large d’activités. La production et la distribution « flexibles » répondent tout à la fois à une imprévisibilité croissante des débouchés commerciaux et à la multiplication des types de produits renouvelés de plus en plus vite, dans une économie « globale » (c’est-à-dire fonctionnant de manière intégrée et à l’échelle mondiale  : le tiers du commerce mondial est interne aux groupes internationaux, de filiale à filiale) et très concurrentielle. La réduction des stocks et celle des délais (le « juste à temps ») sont les paramètres centraux de cette organisation et supposent un appareil logistique fiable et efficient.

La logistique est d’autant plus efficace que la part de ses coûts dans le produit intérieur brut (PIB) d’un pays donné est plus basse. On observe ainsi que, selon des estimations évidemment imprécises, le coût logistique cumulé est d’environ 10 % du PIB dans les pays les plus développés, mais de 18 % en Chine et plus encore dans les pays «  moins avancés  », surtout quand ils sont enclavés, loin de la mer. L’impact de la logistique va bien au-delà de son coût direct et se diffuse dans toute l’économie intérieure et internationale, par la souplesse qu’elle apporte ou, au contraire, par les freins qu’elle met au fonctionnement d’ensemble des circuits de production et de distribution. 

Ce propos très général ne doit pas ignorer que chaque filière, chaque mode de production a sa propre logistique, et qu’une analyse plus fine doit distinguer les systèmes productifs à l’œuvre, qu’ils traitent de produits alimentaires, de matériaux de construction, de produits manufacturés (parmi lesquels les produits plus ou moins «  high tech  »), de déchets et de «  logistique de retour  », etc. À cette décomposition il faut, en outre, ajouter une analyse territoriale des implantations des infrastructures de transport mais aussi des nœuds de réseau où s’opèrent nombre d’opérations logistiques, avec la polarisation des installations et la concentration des flux autour des métropoles nationales et internationales.


Il faut enfin souligner que la logistique ne coïncide pas avec tel ou tel secteur de l’économie. Non seulement la fonction logistique est transversale aux secteurs et aux entreprises, mais elle se répartit en deux régimes économiques distincts. Une part importante des opérations logistiques s’opère à l’intérieur des entreprises qui y ont recours, qu’elles soient industrielles, agricoles ou commerciales, sans passer par le marché. 

La valeur ajoutée et les emplois correspondants de cette logistique «  pour compte propre  » sont internes aux secteurs concernés, et n’apparaissent pas isolément dans les statistiques de la comptabilité nationale. Seuls les prestataires logistiques, à qui les entreprises     «  chargeuses  » (pour reprendre le vocabulaire utilisé pour le transport de fret) confient des opérations logistiques, constituent un secteur économique identifié (la logistique «  pour compte d’autrui  »). 

Si l’on estime qu’il y a aujourd’hui, en France, quelque 1,8 million d’emplois logistiques, seule la moitié d’entre eux relèvent d’entreprises spécialisées, les autres sont immergés dans tous les autres secteurs de l’économie. Ceci ne facilite évidemment pas le comptage des emplois et de la production correspondante, ni leur administration (plusieurs ministères sont légitimement concernés), ni leur prise en compte par les organisations professionnelles, patronales ou syndicales.

Commentaires

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